mercredi 3 septembre 2014

Social, radical, enraciné: les trois mots d'ordre!

Au sein de ce monde décadent et malade, on peut classer deux types d'individus: les résignés et les combatifs.

Bien sûr je ne prétends pas être du niveau de combattants tels que Saint-Loup, Wilelbaldo Solano, Georges Valois ou Jacques Doriot. Peu de personnes peuvent se vanter d'un tel mérite.

Pour bouffer et vivre, je dois taffer, payer mes impôts, avoir un compte en banque, et toutes ces conneries. Mais j'ai l'intime conviction que cette soumission forcée que 99,9% du peuple Européen adopte bon gré - mal gré, ne durera qu'un temps.

Le combat à livrer, pour les individus qui ont quand même envie de fonder une famille malgré la flamme sacrée qu'ils ont dans leur coeur, est d'ordre social, radical et enraciné. Et j'ajouterais spirituel.

Le social d'abord. Il peut se traduire par des actions toutes simples: aider son voisin dans une tâche, écouter le malheur d'un inconnu, nourrir un pauvre. Puis par des actions plus politiques: localisme, création d'AMAP, animation d'ateliers de culture et d'art, meetings... Puis enfin le combat populaire et solidaire, pour une démocratie directe et une vraie justice sociale. J'ai la ferme conviction que nous n'y arriverons que par la volonté, le courage et la persévérance...

Être radical, c'est quoi? C'est se dépasser soi-même, tout faire pour s'émanciper le plus possible du plan de domination décadent qu'on nous impose. S'imposer d'être sain de corps et d'esprit. Rejeter le consumérisme, l'individualisme, la pensée unique, l'abattement, la résignation, le je-m'en-foutisme.
C'est faire preuve de courage, résister à l'agresseur, et dans la limite du possible ne pas copier les tactiques minables de cet agresseur. C'est la volonté de se surpasser, d'avoir Foi en l'avenir radieux que chacun de nos effort dévoile un peu plus. Être radical, c'est ne pas céder, autant qu'on le peut, dans ses propres limites.

L'enracinement, loin de tout racisme malgré ce que prétend l'adversaire, est un combat quotidien. Il passe tout d'abord par la culture, car comment prétendre préserver un héritage dont on ne sait rien? Puis par la diffusion de cet enseignement, par le dialogue calme et constructif. Je prends mon exemple: le matin, je lis Saint-Loup, Pierre Drieu La Rochelle et Jean Mabire, et l'après-midi je fréquente des individus issus de l'immigration, et je discute avec eux. Et avec certains j'arrive à leur faire comprendre mon point de vue. L'enracinement n'est qu'une question racialiste, mais universelle, elle concerne tous les peuples. J'admire autant Saint-Loup que Lumumba.

Ces trois mots d'ordre m'ont sauvé de la décadence, de la faiblesse et de la mort, ce sont les meilleurs remèdes au monde moderne, le Grand Adversaire...

LeuKKKoderme A.KA. le Loup Solidaire.

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